Dans les coulisses d'Helvetiq

Deux fois par an, nous ressentons le besoin de nous retirer et de nous retrouver en équipe. Début mai, nous avons choisi de nous rendre en Forêt Noire. Quel cadre agréable pour reprendre notre souffle !!!

Richard nous avait recommandé un hôtel qui offrait tout, de la nourriture aux salles de travail et bien sûr de la bière allemande. Il était possible de s'y rendre avec une empreinte carbone réduite grâce aux transports publics, guidés par Jonas, le maître des billets de groupe - nous étions 18 car nous accueillions une nouvelle collègue : Manon.

Nous avons commencé par une randonnée le long d'une cascade, à travers une belle forêt pour finir à la porte du bonheur.

La priorité absolue était d'apprendre à mieux se connaître. Nous avons dessiné et découvert des histoires étonnantes. Le tout s'est terminé par une exposition d'art improvisée à la demande générale.

Avant de nous rendre en Forêt-Noire, nous avons créé un programme élaboré. En réalité, nous l'avons laissé de côté pour permettre une bonne cadence tout en gardant les objectifs en tête.
Nous avons volé à différentes altitudes pendant le reste du programme. Nous avons parlé de notre objectif - ouvrir le monde. Nous avons parlé de ce en quoi nous croyons - les gens sont passionnés d'apprendre et de s'amuser lorsque cela est rendu accessible.
Nous avons passé du temps à disséquer nos programmes éditoriaux, qui fait quoi et qui doit savoir quoi et quand. À suivre.

Entre-temps, nous nous sommes fait des tatouages temporaires, nous avons joué à un jeu de photographie hilarant apporté par Mathilde, nous avons dansé au son des boombox et des lumières des stroboscopes des smartphones et nous nous sommes assis à tour de rôle sur le siège de l'appréciation. Lorsque vous vous asseyez sur ce siège, vos collègues vous bombardent de ce qu'ils apprécient chez vous. Nous l'avons fait pour un tiers de l'équipe et sommes impatients de le faire pour tous.