« Les personnages font parfois sourire par leur bêtise et leur extravagance, mais sont également touchant par la tendresse qui les caractèrisent. Avec une palette de couleurs plutôt douces, Tobias Aeschbacher réussit à proposer une première bande dessinée absurde et tragique où les déclarations d'amour résonnent aussi fort que les coups de pistolet. »

-Maën Bayol, L'avis des bulles

« On va tous crever est une pépite d’humour noir et d’absurdité. Cynique, ironique et vif, ce premier roman graphique est une vraie réussite !  »

-Mathilde Ocante, Tout en BD

« Si le dessin est simple, assez naïf et avec peu de décors, le trait est nerveux, l’hémoglobine rouge pétant. On va tous crever est donc plutôt bien fichu. »

-Estelle Desnoës, Charente Libre

« L’auteur nourrit son album de nombreux détails loufoques qui l’agrémentent. Surtout, il nous propose une action plutôt absurde (en écho à l’absurdité de la vie) avec des personnages qui s’avèrent toutes et tous surprenants.»

-Le mag du ciné

« Tobias Aeschbacher propose un roman graphique sanglant, parsemé de cadavres. Un vrai Tarantino biennois.»

-RTS

« On entre dans un univers décalé sans scrupule avec une dose d’humour noir. »

-ActuaBD

« Chacun chacune se révèle tel qu’il elle est : vulnérable mortel.le. C’est petit, c’est mesquin, c’est grandiose. Découpée comme une tragédie ou la saison d’une série (je la vois déjà), servie par un trait à la Muzo, colorée au gris, au bleu pétrole et à la rouille, cette bande dessinée est un petit bijou d’humour noir. Ne passez pas à côté mais enfilez un gilet pare-balles, ça tire dans tous les coins. BAM !»

-François Braud, Bo blog black

« C’est avec beaucoup d’humour et presque d’amour pour ses grands losers que le bédéaste suisse fait défiler les pages. On rit jaune, rien n’a de sens et aucun sens n’est à chercher. Pour autant, cette lecture est tout sauf un moment perdu. »

-Yaneck Chareyre, Comixtrip